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Partie en 2020 du « New York Times » en fustigeant la bien-pensance des journaux traditionnels, elle dirige le florissant média en ligne « The Free Press » et a cofondé une université au Texas. A travers ces entreprises, elle veut offrir un espace préservé du politiquement correct. Mais à l’ère du trumpisme triomphant, ses prises de position la placent souvent à la remorque d’une droitisation des élites américaines.
« Dure semaine ? », s’enquiert-on, alors qu’on retrouve, fin avril, la journaliste américaine Bari Weiss, fondatrice du nouveau média The Free Press. « Pourquoi ? Que s’est-il passé ? », demande-t-elle sincèrement. Le 23 avril, la journaliste interviewait le secrétaire d’Etat Marco Rubio, qui lui avait réservé une annonce de taille : la fermeture de 132 bureaux de l’appareil diplomatique américain, dont ceux créés pour promouvoir les droits de l’homme, lutter contre l’extrémisme et prévenir les crimes de guerre.
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